"Miramos hacia atrás en la historia y ¿qué es lo que vemos? Imperios
que se levantan, imperios que caen [en el olvido]; revoluciones y
contrarrevoluciones; riquezas acumuladas y riquezas dilapidadas.
Shakespeare ha escrito de la subida y de la caída de los más grandes
que, al igual que la marea, suben y bajan con la luna.
He mirado hacia atrás y he visto a mis propios compatriotas [del
Reino Unido], que una vez dominaron la cuarta parte del mundo
convencidos, la mayoría de ellos, de la popular canción que dice que ‘El
Dios que los hizo poderosos, los hará todavía aún más poderosos.’
Oí a un austríaco demente (Hitler) anunciar al mundo el
establecimiento de un imperio que duraría mil años. Vi a un payaso
italiano (Mussolini) decir que iba a parar y a comenzar el calendario
con su ascenso al poder. He escuchado de un asaltador y homicida en el
Kremlin (Stalin) de quien la elite intelectual decía que era más sabio
que Salomón, más humano que Marco Aurelio y más iluminado que Ashoka.
He visto a América mucho más rica y, en lo que a maquinaria militar
se refiere, más poderosa que el resto de los países del mundo juntos;
hasta el punto que si los americanos hubiesen querido, hubiesen podido
superar a César o a Alejandro Magno en la magnitud y escala de sus
conquistas.
Todo [esto] en el transcurso de una sola vida; todo en una sola vida. ¡Todo el viento se lo llevó!
Hoy Inglaterra es parte de una pequeña isla de Europa, amenazada por
el desmembramiento [de los nacionalismos] e incluso con la bancarrota.
Hitler y Mussolini, muertos, son recordados sólo en la infamia. Stalin,
hoy es un nombre prohibido en el régimen que él mismo ayudó a fundar y
que dominó por unas tres décadas. América acosada por el miedo de
quedarse sin el precioso combustible que mantiene viva la actividad
frenética de sus carreteras; envuelta en la polución y con una herida en
la memoria por una desastrosa campaña en Vietnam y el escándalo
político del Watergate.
Todo en transcurso de una sola vida; todo en una sola vida… ¡todo se ha ido a pique en una sola vida!
[Pero], de entre los escombros de estos superhombres se levanta la
gigantesca figura de Uno debido a quien, por quien, en quien y a través
de quien solamente el hombre todavía puede obtener la paz [que tanto
anhela] – [se trata de] la persona de Jesucristo. Él es el camino, la
verdad y la vida, ¿le conoces?"
- Malcolm Muggeridge
lunes, 15 de diciembre de 2014
All Gone with the Wind: A Poignant Quote by Malcolm Muggeridge
“We look back upon history and what do we see? Empires rising and falling, revolutions and counter-revolutions, wealth accumulating and wealth dispersed, one nation dominant and then another. Shakespeare speaks of ‘the rise and fall of great ones that ebb and flow with the moon.’
“I look back on my own fellow countrymen ruling over a quarter of the world, the great majority of them convinced, in the words of what is still a favorite song, that, ‘God who’s made the mighty would make them mightier yet.’ I’ve heard a crazed, cracked Austrian announce to the world the establishment of a German Reich that would last a thousand years; an Italian clown announce that he would restart the calendar to begin his own ascension to power. I’ve heard a murderous Georgian brigand in the Kremlin acclaimed by the intellectual elite of the world as a wiser than Solomon,more humane than Marcus Aurelius, more enlightened than Ashoka. I’ve seen America wealthier and in terms of weaponry, more powerful than the rest of the world put together, so that had the American people desired, could have outdone an Alexander or a Julius Caesar in the range and scale of their conquests.”
“All in one lifetime.All in one lifetime. All gone with the wind. England part of a tiny island off the coast of Europe, threatened with dismemberment and even bankruptcy. Hitler and Mussolini dead, remembered only in infamy. Stalin a forbidden name in the regime he helped found and dominate for some three decades. America haunted by fears of running out of those precious fluids that keep her motorways roaring, and the smog settling, with troubled memories of a disastrous campaign in Vietnam, and the victories of the Don Quixotes of the media as they charged the windmills of Watergate.
“All in one lifetime, all gone. Gone with the wind.”
“Behind the debris of these self-styled, sullen supermen and imperial diplomatists, there stands the gigantic figure of one person, because of whom, by whom, in whom, and through whom alone mankind might still have hope. The person of Jesus Christ.”
-Malcolm Muggeridge
lunes, 10 de febrero de 2014
COMMENT OBTENIR LA VRAIE LIBERTÉ?
Le 8
septembre 1820, dans la baie de Paracas, débarqua l’Expédition Libératrice du
Sud, commandée par le général Don José de San Martin, qui établit son quartier
général à Pisco. Il comptait là-bas, avec l’enthousiaste collaboration des
patriotes indépendantistes de la ville. Ceci arriva pendant le gouvernement du
Vice-Roi Joaquin De la Pezuela, marquis de Viluma.
TOUT D’ABORD, IL NOUS FAUT RECONNAITRE QUE NOUS NE SOMMES PAS LIBRES
L’arrivée
au Pérou de l’Expédition Libératrice du Sud eut comme objectif premier, obtenir
l’indépendance du pays, étant le Pérou le centre du pouvoir royal d’Espagne en
Amérique du Sud. Ainsi, on favorisait l’indépendance des autres pays de la
région.
Le
vice-roi, qui suivait les instructions données par l’Espagne, organisa la
Conférence de Miraflores, où se réunirent les représentants de San Martin et de
Pezuela. La position des patriotes était qu’on reconnaisse l’indépendance,
tandis que la position des royalistes était de se soumettre au roi d’Espagne et
aux lois de la Constitution Libérale de 1812. Dû aux points de vue
antagoniques, la conférence fut un échec.
Plus
tard, le 5 octobre, San Martin ordonna à Alvares d’Arenales, un citoyen
espagnol, la mise en œuvre de la
campagne dans la Sierra Centrale, pour inciter cette région à la révolution et
pour y établir un cercle offensif autour de Lima, capitale du Vice-Royaume du
Pérou, avec l’aide des « montoneros », qui étaient des paysans armés,
en révolte.
San
Martin décida d’aller à Huaura le 26 octobre. Ensuite, il reçut des nouvelles sur
la capture du meilleur bateau royaliste, La Esmeralda ; la désertion du
bataillon royaliste Numancia, lequel se joignit au régiment indépendantiste ;
la victoire à Cerro de Pasco, obtenue par le général Arenales, sur les forces royalistes
du brigadier O’Really ; l’indépendance des intendances de Trujillo et de Guayaquil,
et aussi de la province de Jaén. Selon Francisco Quiroz, San Martin avait
confiance en que les créoles (des espagnols nés en Amérique du Sud), s’accorderait
en consensus concernant la séparation d’avec l’Espagne, et par conséquence, le
conflit serait résolu assez vite.
Ces
évènements favorables aux patriotes et les hésitations du vice-roi par rapport
aux forces d’insurrection, amenèrent les royalistes à remettre en question sa capacité.
Ils suscitèrent une mutinerie à Aznapuquio et firent un coup d’état contre Pezuela.
Ensuite ils nommèrent José de La Serna comme le nouveau vice-roi.
POUR ÊTRE VRAIMENT LIBRE, LE CHANGEMENT DOIT COMMENCER DANS NOTRE PENSÉE
Par
mandat de la Monarchie Constitutionnelle d’Espagne, il y eut une conférence à
Punchauca. À cette occasion, San Martín et de La Serna se rencontrèrent. San
Martin demandait la reconnaissance de l'indépendance du Pérou, tandis que de La
Serna, la soumission au roi d'Espagne. En plus, San Martín proposa d'établir au
Pérou, une monarchie constitutionnelle sous l'autorité d'un prince européen. Les
royalistes n’acceptèrent pas, car qu'ils avaient le soutien de la plupart des
créoles, et espéraient que la population indigène ne ferait pas de soulèvement
général, et surtout pas, sous le commandement de l'armée de San Martin.
Après la
conférence de Punchauca, le vice-roi José de La Serna décida d'aller à Cuzco le
6 Juillet 1821, avec toute son armée, car pour lui, Lima était devenue une ville
dangereuse. Seulement l’aristocratie y resta. C'est dans ces circonstances que
San Martín décida d’entrer à Lima le 10 Juillet. Quiroz signala que San Martin fut
reçu à Lima au milieu de la jubilation des habitants, mais avec la méfiance des
aristocrates coloniales, lesquels durent prendre position en faveur de
l’indépendance, car entre Lima et l'armée de La Serna, il y avait les
Montoneros, prêts à l’action. Leur refus aurait été l'équivalent d'être d’accord
avec leur propre arrestation, confiscation ou l'exil.
POUR ÊTRE LIBRE, NOS ACTIONS ONT DU MÉRITE MAIS NE SONT PAS SUFFISANTES
L’acte d'indépendance
rédigée par Manuel Pérez Tudela, fut signée le 15 Juillet 1821, dans les
installations du Conseil Municipal de Lima, présidée par Don Isidro de Cortázar
y Abarca, maire de la ville. La
proclamation de l'indépendance eut lieu le 28 Juillet avec ces mots:
«Le Pérou est désormais libre et
indépendant par la volonté générale du peuple et par la justice que Dieu exige.
Vive la patrie! Vive la liberté, Vive l’Independence! »
Cependant,
la vraie indépendance du Pérou fut réellement acquise le 11 Décembre 1824, avec
la capitulation d'Ayacucho, signée entre les généraux Sucre et Canterac. À ce moment-là,
l’armée royaliste accepta de rendre les armes et de quitter le territoire.
LA VRAIE LIBERTÉ EST ACCORDÉE PLUTÔT QU’OBTENUE PAR NOUS MÊMES
Heraclio
Bonilla signale que l'indépendance du Pérou ne signifia, en aucune manière,
l’abrogation de l'ordre économique et social, à caractère colonial. Celui-ci resta
en vigueur jusqu'à la fin du XIXe siècle, probablement parce qu'elle fut gagnée
par des armées alliées venues d’ailleurs, c’est-à-dire, une indépendance
accordée plutôt qu’obtenue.
Il a
fallu plusieurs années pour enfin obtenir l’indépendance politique. Cependant,
il existe une autre indépendance que nous n’avons pas. C'est l’indépendance spirituelle,
car nous sommes encore sous la domination du péché, par notre refus d’accepter la
volonté de Dieu pour notre vie. La Bible l’explique ainsi:
«Jésus leur répondit : En
vérité, en vérité, je vous le dis, quiconque commet le péché est esclave du
péché. Or, l’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ; le fils
y demeure pour toujours. Si donc le Fils vous rend libres, vous serez
réellement libres. » Jean 8:34-36
L’indépendance
spirituelle consiste à se soumettre à la volonté de Dieu, laquelle est de recevoir
d’abord Jésus-Christ comme seigneur et sauveur de notre vie, pour ainsi
acquérir le droit de devenir enfants de Dieu.
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