lunes, 15 de diciembre de 2014

¡Todo el viento se lo llevó!: Una cita conmovedora por Malcolm Muggeridge

"Miramos hacia atrás en la historia y ¿qué es lo que vemos? Imperios que se levantan, imperios que caen [en el olvido]; revoluciones y contrarrevoluciones; riquezas acumuladas y riquezas dilapidadas. Shakespeare ha escrito de la subida y de la caída de los más grandes que, al igual que la marea, suben y bajan con la luna.

He mirado hacia atrás y he visto a mis propios compatriotas [del Reino Unido], que una vez dominaron la cuarta parte del mundo convencidos, la mayoría de ellos, de la popular canción que dice que ‘El Dios que los hizo poderosos, los hará todavía aún más poderosos.’

Oí a un austríaco demente (Hitler) anunciar al mundo el establecimiento de un imperio que duraría mil años. Vi a un payaso italiano (Mussolini) decir que iba a parar y a comenzar el calendario con su ascenso al poder. He escuchado de un asaltador y homicida en el Kremlin (Stalin) de quien la elite intelectual decía que era más sabio que Salomón, más humano que Marco Aurelio y más iluminado que Ashoka.

He visto a América mucho más rica y, en lo que a maquinaria militar se refiere, más poderosa que el resto de los países del mundo juntos; hasta el punto que si los americanos hubiesen querido, hubiesen podido superar a César o a Alejandro Magno en la magnitud y escala de sus conquistas.

Todo [esto] en el transcurso de una sola vida; todo en una sola vida. ¡Todo el viento se lo llevó!
Hoy Inglaterra es parte de una pequeña isla de Europa, amenazada por el desmembramiento [de los nacionalismos] e incluso con la bancarrota.  Hitler y Mussolini, muertos, son recordados sólo en la infamia. Stalin, hoy es un nombre prohibido en el régimen que él mismo ayudó a fundar y que dominó por unas tres décadas. América acosada por el miedo de quedarse sin el precioso combustible que mantiene viva la actividad frenética de sus carreteras; envuelta en la polución y con una herida en la memoria por una desastrosa campaña en Vietnam y el escándalo político del  Watergate.

Todo en transcurso de una sola vida; todo en una sola vida… ¡todo se ha ido a pique en una sola vida!
[Pero], de entre los escombros de estos superhombres se levanta la gigantesca figura de Uno debido a quien, por quien, en quien y a través de quien solamente el hombre todavía puede obtener la paz [que tanto anhela] – [se trata de] la persona de Jesucristo. Él es el camino, la verdad y la vida, ¿le conoces?"
  
- Malcolm Muggeridge


All Gone with the Wind: A Poignant Quote by Malcolm Muggeridge


“We look back upon history and what do we see? Empires rising and falling, revolutions and counter-revolutions, wealth accumulating and wealth dispersed, one nation dominant and then another. Shakespeare speaks of ‘the rise and fall of great ones that ebb and flow with the moon.’

“I look back on my own fellow countrymen ruling over a quarter of the world, the great majority of them convinced, in the words of what is still a favorite song, that, ‘God who’s made the mighty would make them mightier yet.’ I’ve heard a crazed, cracked Austrian announce to the world the establishment of a German Reich that would last a thousand years; an Italian clown announce that he would restart the calendar to begin his own ascension to power. I’ve heard a murderous Georgian brigand in the Kremlin acclaimed by the intellectual elite of the world as a wiser than Solomon,more humane than Marcus Aurelius, more enlightened than Ashoka. I’ve seen America wealthier and in terms of weaponry, more powerful than the rest of the world put together, so that had the American people desired, could have outdone an Alexander or a Julius Caesar in the range and scale of their conquests.”

“All in one lifetime.All in one lifetime. All gone with the wind. England part of a tiny island off the coast of Europe, threatened with dismemberment and even bankruptcy. Hitler and Mussolini dead, remembered only in infamy. Stalin a forbidden name in the regime he helped found and dominate for some three decades. America haunted by fears of running out of those precious fluids that keep her motorways roaring, and the smog settling, with troubled memories of a disastrous campaign in Vietnam, and the victories of the Don Quixotes of the media as they charged the windmills of Watergate.

“All in one lifetime, all gone. Gone with the wind.”

“Behind the debris of these self-styled, sullen supermen and imperial diplomatists, there stands the gigantic figure of one person, because of whom, by whom, in whom, and through whom alone mankind might still have hope. The person of Jesus Christ. 




-Malcolm Muggeridge



lunes, 10 de febrero de 2014

COMMENT OBTENIR LA VRAIE LIBERTÉ?



Le 8 septembre 1820, dans la baie de Paracas, débarqua l’Expédition Libératrice du Sud, commandée par le général Don José de San Martin, qui établit son quartier général à Pisco. Il comptait là-bas, avec l’enthousiaste collaboration des patriotes indépendantistes de la ville. Ceci arriva pendant le gouvernement du Vice-Roi Joaquin De la Pezuela, marquis de Viluma.

 TOUT D’ABORD, IL NOUS FAUT RECONNAITRE QUE NOUS NE SOMMES PAS LIBRES


L’arrivée au Pérou de l’Expédition Libératrice du Sud eut comme objectif premier, obtenir l’indépendance du pays, étant le Pérou le centre du pouvoir royal d’Espagne en Amérique du Sud. Ainsi, on favorisait l’indépendance des autres pays de la région.

Le vice-roi, qui suivait les instructions données par l’Espagne, organisa la Conférence de Miraflores, où se réunirent les représentants de San Martin et de Pezuela. La position des patriotes était qu’on reconnaisse l’indépendance, tandis que la position des royalistes était de se soumettre au roi d’Espagne et aux lois de la Constitution Libérale de 1812. Dû aux points de vue antagoniques, la conférence fut un échec.

Plus tard, le 5 octobre, San Martin ordonna à Alvares d’Arenales, un citoyen espagnol,  la mise en œuvre de la campagne dans la Sierra Centrale, pour inciter cette région à la révolution et pour y établir un cercle offensif autour de Lima, capitale du Vice-Royaume du Pérou, avec l’aide des « montoneros », qui étaient des paysans armés, en révolte.

San Martin décida d’aller à Huaura le 26 octobre. Ensuite, il reçut des nouvelles sur la capture du meilleur bateau royaliste, La Esmeralda ; la désertion du bataillon royaliste Numancia, lequel se joignit au régiment indépendantiste ; la victoire à Cerro de Pasco, obtenue par le général Arenales, sur les forces royalistes du brigadier O’Really ; l’indépendance des intendances de Trujillo et de Guayaquil, et aussi de la province de Jaén. Selon Francisco Quiroz, San Martin avait confiance en que les créoles (des espagnols nés en Amérique du Sud), s’accorderait en consensus concernant la séparation d’avec l’Espagne, et par conséquence, le conflit serait résolu assez vite.

Ces évènements favorables aux patriotes et les hésitations du vice-roi par rapport aux forces d’insurrection, amenèrent les royalistes à remettre en question sa capacité. Ils suscitèrent une mutinerie à Aznapuquio et firent un coup d’état contre Pezuela. Ensuite ils nommèrent José de La Serna comme le nouveau vice-roi.
 

POUR ÊTRE VRAIMENT LIBRE, LE CHANGEMENT DOIT COMMENCER DANS NOTRE PENSÉE


                                                                                   

                                                                            
Par mandat de la Monarchie Constitutionnelle d’Espagne, il y eut une conférence à Punchauca. À cette occasion, San Martín et de La Serna se rencontrèrent. San Martin demandait la reconnaissance de l'indépendance du Pérou, tandis que de La Serna, la soumission au roi d'Espagne. En plus, San Martín proposa d'établir au Pérou, une monarchie constitutionnelle sous l'autorité d'un prince européen. Les royalistes n’acceptèrent pas, car qu'ils avaient le soutien de la plupart des créoles, et espéraient que la population indigène ne ferait pas de soulèvement général, et surtout pas, sous le commandement de l'armée de San Martin.

Après la conférence de Punchauca, le vice-roi José de La Serna décida d'aller à Cuzco le 6 Juillet 1821, avec toute son armée, car pour lui, Lima était devenue une ville dangereuse. Seulement l’aristocratie y resta. C'est dans ces circonstances que San Martín décida d’entrer à Lima le 10 Juillet. Quiroz signala que San Martin fut reçu à Lima au milieu de la jubilation des habitants, mais avec la méfiance des aristocrates coloniales, lesquels durent prendre position en faveur de l’indépendance, car entre Lima et l'armée de La Serna, il y avait les Montoneros, prêts à l’action. Leur refus aurait été l'équivalent d'être d’accord avec leur propre arrestation, confiscation ou l'exil.


POUR ÊTRE LIBRE, NOS ACTIONS ONT DU MÉRITE MAIS NE SONT PAS SUFFISANTES


                                     
                                        
L’acte d'indépendance rédigée par Manuel Pérez Tudela, fut signée le 15 Juillet 1821, dans les installations du Conseil Municipal de Lima, présidée par Don Isidro de Cortázar y Abarca, maire de la ville.  La proclamation de l'indépendance eut lieu le 28 Juillet avec ces mots:
«Le Pérou est désormais libre et indépendant par la volonté générale du peuple et par la justice que Dieu exige. Vive la patrie! Vive la liberté, Vive l’Independence! »
Cependant, la vraie indépendance du Pérou fut réellement acquise le 11 Décembre 1824, avec la capitulation d'Ayacucho, signée entre les généraux Sucre et Canterac. À ce moment-là, l’armée royaliste accepta de rendre les armes et de quitter le territoire.
  

LA VRAIE LIBERTÉ EST ACCORDÉE PLUTÔT QU’OBTENUE PAR NOUS MÊMES


Heraclio Bonilla signale que l'indépendance du Pérou ne signifia, en aucune manière, l’abrogation de l'ordre économique et social, à caractère colonial. Celui-ci resta en vigueur jusqu'à la fin du XIXe siècle, probablement parce qu'elle fut gagnée par des armées alliées venues d’ailleurs, c’est-à-dire, une indépendance accordée plutôt qu’obtenue.
Il a fallu plusieurs années pour enfin obtenir l’indépendance politique. Cependant, il existe une autre indépendance que nous n’avons pas. C'est l’indépendance spirituelle, car nous sommes encore sous la domination du péché, par notre refus d’accepter la volonté de Dieu pour notre vie. La Bible l’explique ainsi:
«Jésus leur répondit : En vérité, en vérité, je vous le dis, quiconque commet le péché est esclave du péché. Or, l’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ; le fils y demeure pour toujours. Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres. » Jean 8:34-36
L’indépendance spirituelle consiste à se soumettre à la volonté de Dieu, laquelle est de recevoir d’abord Jésus-Christ comme seigneur et sauveur de notre vie, pour ainsi acquérir le droit de devenir enfants de Dieu.

El País de Israel

La superficie terrestre del país de Israel es de 22 145 km² que es similar a la superficie de: A. Uruguay B. Portugal C. Belice D. Surinam R...